Dans cette publication, je fais allusion à des références que je ne puis expliquer dans une publication, destinée pour les réseaux sociaux. Il serait judicieux que vous procédiez à des recherches sur ces thèmes. Une alternative, serait de lire le texte de cette publication, lorsqu’elle sera disponible sur mon blog, abdesselamebougedrawi.com. J’y apporterai les éclaircissements nécessaires.
Le sujet de ce jour, porte sur le thème, LITTÉRATURE ET MIEUX VIVRE.
Dans un article de Marianne, en date du 12 septembre 2024, Antoine Compagnon, un académicien, déclare. La littérature ne nous aide pas à trouver un emploi, mais elle nous aide à vivre.
Je me demande comment, Antoine Compagnon, habillé d’un luxueux habit d’académicien, pourrait aider un sans-domicile fixe, vivant dans une tente, par un hiver glacial. Il est vrai, que c’est bien dans un restaurant luxueux, que les hommes de la littérature parlent de la faim dans le monde.
Je suis sidéré par quelques livres, qui après des dizaines de pages de descriptions insipides, nous affirment que le malheur de Emma, survint, lorsqu’elle se maria.
Un livre similaire, qui après des dizaines de pages insipides de description, affirme que le malheur de Marcel, survint, lorsqu’il se maria, sera traité de livre machiste, masculinistes, faisant l’éloge du patriarcat.
Finalement, la littérature nous apprend à vivre, par la théorie du genre.
Au cours d’une émission chez Bernard Pivot, un homme de lettre célèbre, à propos de la mort de son épouse par l’alcoolisme, eut cette phrase. Je ne lui ai quand même pas donné la bouteille.
Finalement, ce philosophe par le cynisme, aida sa femme à mieux vivre sa déchéance. Au moins, il fit quelque chose de bien. Je suis ironique, et non cynique.
André Comte Sponville ne parla que de Spinoza dans une de ces conférences. Il était question du bonheur. Spinoza fut un homme aigri, triste, il mourut de désespoir. Voilà que l’abattement nous aide à vivre.
Ce même compte Sponville commença son allocation par cette déclaration. Lorsque les grands parlent, les autres se taisent. Traduisez, lorsque les philosophes s’expriment, nous devrions nous faire tout petits, puis leur obéir.
La littérature de Jean-Paul Sartre, et celle d’Albert Camus, contribuèrent pleinement à la destruction intellectuelle de millions de personnes en France, et ailleurs. Entre vies absurdes, celle de la nausée, ou encore celle de la peste, faites le choix de ce qui vous aide à mieux vivre.
Platon est considéré, à juste raison, en tant que père de la pensée philosophique moderne occidentale. Dans mes articles précédents, ainsi que dans ma prochaine publication sur l’universalité en Occident, je démontre comment Platon, avec le mythe de la grotte, est à l’origine des plus grands génocides. En effet, il appartient à ceux qui ont rencontré la lumière d’éduquer ceux qui sont restés dans les grottes de l’ignorance. Les éduquer, par les armes, souvent.
Que penser, encore, d’un penseur de l’utilitarisme qui dit que si Fénelon et son valet sont prisonniers dans un incendie, c’est Fénelon qu’il faudrait sauver. Effectivement, la philosophie n’aide pas à trouver le boulot, en effet, on préférera toujours les Fénelon. Elle n’aide pas, non plus, à mieux vivre, puisque là encore, les préférences seront données aux Fénelon. Encore eux.
Ce qui rend les gens plus heureux, probablement ; ce qui contribue à rendre la vie meilleure pour certains, ce ne sera jamais la littérature. Ce sera, une enfance heureuse, des parents aimants, des personnes solidaires. Ensuite, après, bien après, on pourra introduire une littérature qui rassure comme celle des contes de fées, des belles aventures. Mais, là encore, on le sait parfaitement, avec la Dark romance, les sordides livres pour jeunes, on détruit l’essence même de l’enfance, sous l’indifférence, d’un Antoine compagnon, et de tou ses semblables.
Aussi, homme de lettres, femmes de lettres, cassez vou.
Certains, avec un rire sardonique, rétorqueront que je suis bête, et que je n’ai rien compris à la littérature. Qu’ils me disent, dans leur dernière œuvre littéraire, à partir de quelle page, finalement, Emma se maria.
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