DICTATURE, DYSTOPIE, INTELLECTUELS, MANIPULATIONS

CRIMINALISATION DE LA BANALITÉ ET RETOUR DE L’ESPRIT D’INQUISITION

À travers mes diverses publications, je fais de mon mieux, pour vous fournir un point de vue qui diffère de l’opinion dominante. Je vous invite à visiter mon blog, abdesselamebougedrawi.com, vous y trouverez des articles pertinents, ainsi que des documents gratuits en téléchargement. Particulièrement, des fichiers PDF qui reprennent le texte de l’ensemble de mes vidéos.

Le thème d’aujourd’hui porte sur le retour puissant d’un esprit irrationnel d’inquisition. On le constate, essentiellement, dans les sociétés occidentales démocratiques dans lesquelles la liberté d’expression est garantie, mais qui s’accompagnent d’une dictature de la pensée. Ce phénomène représente la conséquence de ce que je décris dans mon livre, transfigurassions de l’humain en Occident, Naissance de la monade.

Aujourd’hui, je me contente de vous en fournir quelques exemples.

Criminalisation des faits divers en fonction de l’origine des personnes

On le constate, lorsque l’on regarde la télévision dans les pays démocratiques, un fait divers qui s’inscrit dans la logique de société, peut être considéré en tant que crime majeur, en fonction des circonstances.

La même infraction est perçue indifféremment, en fonction de votre couleur de peau, ou encore, de votre croyance. Certains vont même jusqu’à y déceler un choc civilisationnel. Michel Onfray est le représentant habituel de ce style de dérive.

Ceci ne manque pas de rappeler la célèbre citation de Lafontaine, dans la fable, Les Animaux malades de la peste.

« Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »

Finalement, bien des siècles après, on se rend compte que Jean de La Fontaine est un grand visionnaire. Lorsqu’il parlait d’animaux atteints de peste, il évoquait, pareillement, la société présente. En effet, cette criminalisation de la banalité, sans lui trouver une solution, s’apparente réellement à une peste. Mais, bien sûr, à une signification allégorique de cette épidémie.

Retour au maccarthysme

Durant la période sinistre du maccarthysme aux États-Unis d’Amérique, une personne était accusée de subversion, sur une simple lecture d’un livre qui traite d’un sujet, aussi banal, que l’entraide sociale. Cette ordinaire lecture, vous faisait apparaître devant des commissions spéciales, chargées de traquer les communistes. Je consacrerai une série de publications sur ce thème malheureux de l’histoire de l’Amérique.

En ces moments, avec la mainmise des intellectuels sur les esprits, ce même phénomène se reproduit.

Pour une bonne compréhension de cette manifestation, je vous fournis un exemple simple, mais courant chez les médias.

On suppose qu’une personne est accusée d’un quelconque méfait. Selon la justice, jusqu’à preuve de sa culpabilité, cette personne est innocente. On procède à une perquisition de son domicile. On y trouve, 300 € en liquide.

Même si pareille somme est dérisoire, même si posséder 300 € est une affaire répandue, cela sera interprété comme, blanchiment d’argent, corruption, ou bien encore d’évasion fiscale. Le pire, est que le public à l’esprit formaté, reprendra à son compte cette affaire. Sur les lieus de travail, sur les réseaux sociaux, partout ailleurs, on dissertera et on procédera à la criminalisation d’une personne sur des faits, en fin de compte, bien banals.

Mon souhait est que, à travers ces deux exemples qui font désormais partie de la vie courante, vous apprendrez, par vous-même, à discerner les égarements d’une presse, d’écrivain, d’intellectuels, qui conduisent les nations démocratiques vers le malaise, le mal vivre, possiblement, vers la déconfiture.

Ne vous laissez plus berner par une élite dominante, mes publications sont votre garantie de liberté.

ECRiTAU mag, votre garantie liberté

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