LIBERALISME, SOCIÉTÉ

CONTRE ANALYSE, ÊTRE PRODUCTIF NE SUFFIT PLUS, IL FAUT VENDRE

À travers cette nouvelle rubrique, contre analyse, je vous propose une rectification de quelques articles que je juge dangereux. Ou bien, au minimum, erronés. Il est temps de tourner le dos aux discours stéréotypés des intellectuels et des philosophes. ECRiTAU mag, votre garantie liberté.

Aujourd’hui, je me propose de faire une mise au point sur un article du journal le monde intitulé, La France ne pourra réduire significativement son endettement public qu’en renforçant son tissu productif. Il est signé par l’économiste Thomas Grjebine.

Quotidien Le monde, incompétent et prévisible

Je n’ai aucune estime pour le monde ainsi que pour ses journalistes. Je l’ai exprimé de la façon la plus claire à maintes reprises à travers mes vidéos, mes publications, mes essais. Il fait appel à quelques collaborateurs externes, des spécialistes, semble-t-il, pour aborder des thèmes puissants de notre époque. Leurs analyses sont des plus déficientes. Finalement, ceux qui se ressemblent s’assemblent.

Une rhétorique éculée

L’ensemble des spécialistes qui interviennent, que ce soient au Monde ou ailleurs, expliquent la crise qui traverse la France et l’Europe par des déclarations obsolètes. Productivité, diminution du coût du travail, et j’en passe. Cette rhétorique, revêtue de quelques mots savants, je crois que nous ne l’avons que trop entendue. Sans le moindre résultat. Les slogans tels que, travaillez plus pour gagner plus sonnent aussi faux qu’un sourire forcé.

Il ne suffit pas de produire, il faut vendre

En économie libérale et capitaliste, c’est bien la vente de produits qui fait entrer l’argent. Pas d’argent, pas de salaires, pas de prestations, pas de service. Pour résumer, la crise.

On pourrait procéder à toutes les productivités que l’on voudrait ; l’on pourrait baisser les salaires autant que l’on souhaite ; on pourrait reculer l’âge de la retraite jusqu’à la sénilité ; on pourrait changer de loi tous les 6 mois, cela n’aboutira à rien si l’on ne vend pas sa production.

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SUITE DE L’ARTICLE

Interrogation cruciale, pourquoi la France ne vend plus ?

Dans mes essais, la France et le déclin, désagrégations paupérisation de l’Union européenne, j’explique de façon claire et simple les raisons de la crise économique qui s’installe de façon définitive en Europe. Mes ouvrages vous sont proposés en tant qu’auteur indépendant sur Amazon.

L’ère de la guerre de l’opium est révolue

Il fut un temps, pas si lointain finalement, où pour écouler une marchandise il suffisait d’envoyer quelques canonnières vers un pays. Ensuite, l’affaire était réglée.

Il en fut de même pour quelques pays européens qui possédaient des colonies. L’on profitait de leurs matières premières, de leurs mains-d’œuvre gratuites, l’on écoulait sa marchandise.

En ce moment, une sérieuse concurrence

Parce qu’ils n’ont pas compris que le monde changeait, parce qu’ils n’ont pas compris que des pays produisent la même chose qu’eux, parce qu’ils sont grisés par leurs passés, les Européens vivent sur des réflexes archaïques d’un monde sous leur domination. Celui dans lequel il suffisait d’être européen et blanc pour être déifié. Humains et marchandises, s’entend.

En conclusion

Les Européens sont persuadés que le monde leur appartient comme précédemment. Augmenter la productivité ne servirait à rien si on ne vend pas ce que l’on produit. La question cruciale est la suivante, vendre, mais à qui ?

Ce ne sera, certainement pas de sitôt, que le journal le monde, ou ses clones, apportera une réponse cohérente. L’eut-il fait seulement auparavant ?

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