CHANGEMENT PAR LES URNES, UNE MYSTIFICATION

Par l’intermédiaire d’une série de textes, intitulés libelles, je me propose de vous expliquer comment, dans les démocraties modernes, s’installe, sans que l’on s’en aperçoive, une aliénation des esprits conduisant à une soumission. Soutenir mon action citoyenne en acquérant mes ouvrages en vente chez Amazon. Je vous propose de découvrir un extrait des 32 libelles.
Extrait de, 32 libelles, essai à paraître prochainement
« La démocratie en Occident consiste en ce que les citoyens élisent des personnes qui, toujours, les méprisent. Le premier usage que les représentants feront de la puissance accordée revient à la retourner contre ce peuple qui leur a fait confiance. Ensuite, les citoyens, n’ont d’autre recours que d’envahir la rue avec cette espérance folle de déloger du pouvoir ceux-là mêmes à qui il ont accordé.
Ne pouvant atteindre cet objectif, le peuple se résout à attendre les prochaines élections. Pour recommencer un nouveau tour de soumission. » © Abdesselam Bougedrawi
Constamment asservis par les urnes, jamais libérés par elles
Dans l’esprit des citoyens des démocraties occidentales, l’unique moyen de changement consiste à retourner dans les urnes. Cette manière de réfléchir, cette croyance présente en elle plusieurs défaillances :
– En premier lieu, recourir au vote suppose, généralement, d’attendre jusqu’à la fin de la session politique en cours. Ce qui revient à attendre la fin d’un mandat présidentiel, un gouvernement, toute situation soumise à des limites dans le temps. Lorsque le conflit est urgent, pareille attente, bien sûr, est inopportune.
– En second lieu, si par un hasard heureux, la crise coïncide avec le terme d’une échéance politique et que le retour aux urnes est imminent, les aspirations des citoyens se trouvent noyées dans un ensemble de promesses électorales :
– En troisième lieu, ce sont bien les urnes qui ont conduit à la situation que l’on voudrait changer. Le retour au vote suppose les mêmes comportements des représentants. Langue de bois, manipulation, vaines promesses.
Récurrente soumission
Finalement, l’opinion ancrée dans les esprits selon laquelle on ne peut changer sa condition que par le vote est une vaine espérance. Plus encore, elle représente la soumission à un système dont les élus comprennent les rouages et savent si bien le contrôler pour, continuellement, le détourner vers leurs propres intérêts.
En attendant la publication des 32 libelles, je vous invite à acquérir les essais suivants. ils représentent le meilleur moyen pour comprendre la situation socio-politique européenne.
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