À travers cette nouvelle rubrique, contre analyse, je vous propose une rectification de quelques articles que je juge dangereux. Ou bien, au minimum, erronés. Il est temps de tourner le dos aux discours stéréotypés des intellectuels et des philosophes. Penser par nous-mêmes est notre garantie liberté.
Aujourd’hui, je me propose de faire une mise au point sur un article du monde intitulé, Kamala Harris a été emportée par la vague de mécontentement qui traverse les démocraties. Il est signé Naomi Klein, essayiste.
Un revers historique pour les démocrates
L’élection de Donald Trump représente un triomphe éclatant pour les républicains. Cependant, au-delà de cette victoire, il faudrait discerner l’essentiel, la récusation des démocrates. Quoi que l’on fasse pour la minimiser, quoi que l’on puisse faire pour accabler Trump, cela ne changerait rien au fond.
Les limites obsessionnelles des journalistes et des intellectuels
Bien avant le début de la campagne électorale américaine, l’acharnement contre Donald Trump se mit en marche. Toute la rhétorique du chaos, tous les artifices furent utilisés. Trump représente la dictature ; Trump représente l’inconnu. Les titres de journaux qui abondent en ce sens sont nombreux et bien connus des lecteurs.
Finalement, toute cette entreprise n’aura abouti à rien. Au contraire, probablement a-t-elle mené des indécis à choisir Trump.
Que des intellectuels détestent Donald Trump, cela peut se comprendre. Cependant, pousser d’autres personnes à le faire sans donner une raison valable, voilà ce qui représente une radicalisation journalistique. Ceci ne fonctionne plus.
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SUITE DE L’ARTICLE
Quelques raisons du rejet des démocrates ?
Les intellectuels de l’Occident Européen ne parviennent pas à comprendre que les États-Unis d’Amérique constituent une civilisation différente de la leur. Essentiellement, les citoyens présentent des distinctions fondamentales. Il est impossible de reproduire aux États-Unis d’Amérique ce qui est possible dans le vieux continent.
Même si cela existe dans une forme atténuée, le citoyen américain est traditionnel et proche de sa morale religieuse chrétienne.
La promotion des LGBT, celle du mariage homosexuel, la destruction de la famille, la montée du féminisme sont perçus en tant que des menaces pour la nature même des américains. De leurs valeurs, de ce qu’ils sont fondamentalement.
Ce n’est pas tant la présence des LGBT ou des homosexuels qui dérange. Ce qui est perçu en tant qu’actes graves est de vouloir imposer un modèle qui ne correspond pas à la morale américaine. À l’inverse des Européens, les Américains ne sont pas près de permettre à leur enfant de changer de sexe par médicament ou par chirurgie. Elon Musk, désormais proche collaborateur de Trump, a été clair sur ce sujet.
Pour conclure
Contrairement à ce que déclare l’autrice de l’article du Monde, les démocraties en soi ne sont pas concernés. Au contraire, elles se renforcent face à une pensée dominante qui institue sa dictature.
Faute de l’avoir compris, les démocrates en payent les conséquences. En ce moment de l’histoire américaine, il est important pour les démocrates de se remettre en question. S’ils ne le font pas, ils risquent d’entraîner leurs citoyens vers des comportements de radicalités. Radicalités pour protéger l’essence même américaine, celle qui a été créée par les pères fondateurs.
Le journal le monde devrait présenter plus de rigueur dans ses articles et un meilleur choix de ses collaborateurs. Le peut-il seulement ?
Lien vers l’article de Naomi Klein, paru dans le monde
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