Ne croyez plus en des intellectuels trompeurs.
De tous les écrivains, Albert Camus est celui qui connut le plus de complaisance. On construisit autour de sa personne un monastère de vénération. Impies sont ceux qui oseraient le critiquer. L’ultime blasphème. Il est vrai que à chacun sa religion, ses prophètes, ses radicalités.
Pourtant, lorsque l’on examine les œuvres d’Albert Camus, il ne s’y dégage aucune pensée valable. Entre style médiocre, pensées indigentes, mentalité de colonialistes, Albert Camus n’est ni un grand écrivain ni un grand philosophe, encore moins un humaniste. Sa pensée se résume en un seul élément, l’apprentissage de la résignation.
UN ÉCRIVAIN INDIGENT
C’est en relisant la peste, l’une de ses œuvres les plus célèbres, que je me rendis compte tant de la pauvreté du style, que du creux de la pensée. On eût dit un lycéen écrivant une rédaction. Nombreux sont les intellectuels à être dans cette catégorie.
UN PIÈTRE PENSEUR
L’idée principale de Camus consiste en l’absurdité la vie. Il n’en apporte aucune démonstration recevable. Imbu de sa personne, du moment que lui l’estime, fatalement cela doit l’être. Il ne connaît la signification du mot humilité que pour l’utiliser dans les mots croisés.
UN INITIATEUR DE SERVITUDE
Dans le mythe de Sisyphe, il reprend un récit de la mythologie. Sisyphe est condamné par les dieux à pousser un rocher jusqu’au sommet d’une colline à partir duquel elle roule jusqu’en bas. Ensuite, docilement, Sisyphe recommence son interminable tâche.
Pareillement à Sisyphe, pour Camus, la vie est un éternel recommencement. Il dit clairement, il faut imaginer Sisyphe heureux. Mais heureux de quoi ? De sa soumission ? De sa servitude ?
Il eût fallu pour Sisyphe de s’affranchir de sa soumission envers les dieux de l’Olympe qu’il a créé lui-même. Ensuite, qu’il abandonne cette pierre pour commencer un destin autre que celui qui lui est assigné. Camus opte pour Sisyphe servilement heureux de sa condition d’humain soumis.
UN ÉCRIVAIN À L’ESPRIT COLONIALISTE ET RACISTE.
Dans l’étranger, une œuvre que l’on considère en tant que chefs-d’œuvre, Camus dévoile son esprit sectaire envers les Algériens. Il les décrit en tant que sales Arabes, en même temps, une Algérienne parce que mariée à un français, devient une mauresque.
EN CONCLUSION
Albert Camus n’est ni un grand écrivain ni-un grand penseur, encore moins-un grand homme. Il représente un élément de cette série de mascarade si habituelle au monde occidental intellectuel.
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