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L’ESPAGNE NE DOIT SA RÉUSSITE ÉCONOMIQUE QU’AU MAROC, ET À LUI SEUL

On assiste, en ce moment, en France à l’émergence de ce que j’appelle les experts cancres. Voici, un paragraphe extrait de ma prochaine publication, 32 libelles. Elle fait partie d’un ensemble intitulé, repenser la démocratie en Occident.

Des experts cancres

« L’utilisation du terme cancre me paraît judicieuse. Elle fait référence à ses anciens ignares qui, du fond de la classe, peuvent entraîner l’ensemble des élèves vers le niveau le plus bas. Sauf que, auparavant, les cancres, on mettait sur leur tête le bonnet d’âne. Ici, les cancres, on les respecte, on les écoute, on prend au sérieux leurs paroles, on chante leurs louanges.

Toutes les analyses, tous les essais, toutes les affirmations, toutes les théories se trouvent biaisés. Le plus grave est qu’il n’existe aucune contre-pensée pour dénoncer la médiocrité des propos. La Cancel culture veille soigneusement pour éliminer ces malheureux intrus. » Fin de l’extrait

L’aveuglante vanité des spécialistes français

Lorsque l’on suit le parcours de déclaration bruyante des experts au cours des dernières décennies, on ne peut qu’être sidéré par leur extrême médiocrité. Il se résume exclusivement ceci, ces experts se trompent toujours. Les exemples les plus éloquents sont ceux du choc des civilisations de Samuel Huntington, ou bien encore la stupide théorie de la fin de l’histoire de Francis Fukuyama.

Non seulement ces deux penseurs se sont trompés, non seulement leurs théories sont absurdes, en plus, ils ont entraîné dans leurs fantasmes l’ensemble de l’intelligentsia des nations de l’Occident. Avec cet aboutissement de crises interminables que connaissent ces contrées.

J’ai répondu à travers deux de mes essais aux absurdités des deux penseurs cités plus haut.

La fabrique du choc des civilisations et des opinions

La fin de l’histoire n’aura pas lieu

À travers mes deux essais, je démontre, de façon claire et didactique, les graves erreurs de jugement tant de Samuel Huntington que de Francis Fukuyama.

L’analyse concernant Espagne, là encore, est erronée

Une joute de sottises et de contrevérités se déroule sur les réseaux sociaux. Chacun des experts, des spécialistes, des Nobel, essaye d’expliquer, à sa manière, les raisons de la prospérité économique espagnole. Ce qui est étonnant est que les exposés n’ont rien de rationnel. Leur caractéristique est qu’ils ne sont que le reflet de l’obsession ou de l’idéologie de ceux qui les fournissent.

Telle personne, appartenant au parti socialiste, expliquera la réussite espagnole par le partage.

Tel autre, imbu de sa notoriété, avec dédain, propose l’ultime éclaircissement. C’est grâce à ceci, ou grâce à cela.

J’ai déjà expliqué dans au moins deux de mes essais la raison de la réussite économique espagnole. Cette raison, porte un nom, le Maroc.

Maroc, un dynamisme discret

C’est bien le dynamisme du peuple marocain, son travail, son sérieux, sa compétence qui ont entraîné l’Espagne vers l’avant.

Si la coupe du monde devait connaître une réussite en 2030, ce serait uniquement par l’enthousiasme marocain. C’est bien le Maroc qui propulse Espagne et le Portugal vers la réussite de la coupe du monde. Un observateur averti, non obnubilé par sa vanité, le remarquera aisément.

Relations Maroc/Espagne, le crash test

Lorsqu’une crise eut lieu entre Maroc et Espagne, lorsque celle-ci s’était conclue par une fermeture des frontières et une baisse drastique des échanges commerciaux, c’est bien ce pays européen qui connut une sinistrose. Inversement, le Maroc continua sa prospérité.

Si, au début, un Pedro Sánchez gesticulant fit appel à l’Union européenne, rapidement il déchanta. Il comprit que, sans le Maroc et son dynamisme, son pays, comment le dit vulgairement, était cuit.

Avec la reprise d’une coopération complète basée sur le respect avec le Maroc, de nouveau, la prospérité revint en Espagne.

Enfin, reste à préciser

L’Espagne fut traversée par deux événements autant tragiques qu’insurmontables. Le premier concerne cette panne d’électricité qui paralysa l’ensemble du pays atteignant la France en particulier. Ensuite, cet épisode d’un fulgurant incendie.

Dans ces deux cas, c’est bien l’aide et l’assistance du Maroc, de lui seul, qui permit à l’espace de s’en sortir. L’union européenne, selon son habitude, ne put en aucun cas apporter la moindre solution à son pays membre.

Évidemment, la vanité sans limite de la France l’empêche de reconnaître la contribution exemplaire de ces pays méritant dans la prospérité de l’Espagne. Encore moins de reconnaître la contribution des immigrés maghrébins, dans le rabaissement de la crise qu’elle traverse en ce moment.

Pensez-vous, des maghrébins, cela ne sait rien faire ? L’on préfère le désastre par vanité.

La question est, pour combien de temps cette pro prospérité espagnole ?

En effet, la montée du nationalisme, du racisme, de l’extrémisme, peut à tout moment revenir et entraîner l’Espagne vers la dégradation, comme c’est le cas en France.

Le moment est venu pour tourne le dos à des philosophes obsolètes et délétères. En attendant la publication des 32 libelles, je vous invite à acquérir les essais suivants. ils représentent le meilleur moyen pour comprendre la situation socio-politique européenne.

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