L’Union européenne, spécialement la France, se dirige progressivement, de façon inévitable, vers une crise économique, sociale, et politique sans précédent.
S’il est possible de résoudre les deux dernières, la crise économique, quant à elle, est insurmontable.
Sa caractéristique principale est que, s’il est facile de la surmonter, en même temps, avec les mentalités persistantes, il devient impossible d’entreprendre, quoi que ce soit, justement, contre cette crise.
Cette situation paradoxale, je l’explique, dans deux de mes ouvrages.
– Le premier, la France et le déclin.
– Le second, Désagrégation, paupérisation de l’Union européenne. Retour des nationalismes.
Mes deux ouvrages sont disponibles sur Amazon.
Pour que le lecteur puisse comprendre, le paradoxe de mes propos, je donne un exemple, la crise de 1929, aux États-Unis d’Amérique.
S’il était facile, théoriquement, de la contrer par des mesures de solidarité, de mise en commun des biens, entreprendre, pareils programmes, fut impossible.
En effet, cela s’apparenterait au communisme. On préfère obéir à une idéologie destructrice, plutôt que d’écouter la raison.
Aujourd’hui, il se passe le même phénomène en Europe, et particulièrement en France. Sous l’emprise d’une idéologie colonialiste, d’un racisme sidérant, les Européens ne considéreront jamais les Africains en tant que partenaires égaux. Envers eux, ce ne sera jamais que le mépris. Je rappelle, une célèbre phrase, qu’ils retournent en Afrique. Cette phrase fut prononcée, à l’Assemblée nationale, par un député du Rassemblement National, Grégoire de Fournas.
Pourtant, le salut économique de l’Europe entière, dépend, avant tout et surtout, de l’Afrique. Les autres continents sont déjà pris.
Les Anglais l’ont très bien compris. Ils ont sournoisement, et habilement, provoquer le Brexit. Mais, auparavant, ils avaient construit ce que j’appelle, le nouveau Commonwealth commercial, et économique. Cependant, inversement à l’Europe, ils considèrent, l’Inde, le Pakistan, et le Bangladesh en tant que partenaires égaux et fiables.
La réussite économique de ce nouveau Commonwealth, à bien des égards, est éloquente.
Lorsqu’on observe le comportement des journalistes, des intellectuels, des politiciens de l’union, particulièrement après la dissolution, on se demande s’ils ont compris que le monde a profondément changé.
Au temps ancien des colonies, pour juguler les crises économiques, il suffisait de puiser dans la richesse des pays conquis. Je peux dire, sans me tromper, que de nos jours, cela est strictement impossible.
Aux yeux de l’intelligentsia, intellectuelle, politique, un partenariat avec des pays africains demeure une impossibilité. Impossibilité, avant tout par idéologie. Avec de pareilles mentalités, on peut s’attendre à une crise sans précédent, comme je le disais, en début de ce podcast.
Ne vous laissez pas endormir par des idées obsolètes. Je vous invite à retrouver mes deux ouvrages cités sur Amazon.
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