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JE NE L’AI PAS VOULU. LE SINISTRE RETOUR DES KAISERS

À travers cet article, mon espoir est de raviver l’ultime étincelle humaine qui demeure en nous. Il est temps d’oublier les discours d’un Onfray, d’un Houellebecq, ou, encore, celui d’un Finkielkraut. Ne vous laissez pas tromper par les discours de ces intellectuels. Lisez mes essais, disponibles sur Amazon.

En 1914, à quelques semaines du commencement de la Première Guerre mondiale, le kaiser Guillaume II tenait des discours guerriers au Reichstag. Il parlait de glaive que l’on devait brandir. Il parlait de vengeance, de sang que l’on devait verser pour l’honneur, et la grandeur de l’Allemagne.

Lorsqu’on écoute les discours en allemand du kaiser, une angoisse indicible s’y dégage.

La rage, la hargne, la soif de destruction l’emportent sur la raison. Et, l’on prépara la guerre.

Lorsque Guillaume II comprit sa méprise, et lorsqu’il demanda à ses généraux d’arrêter les préparatifs de guerre, ceux-ci lui répondirent, il est déjà trop tard. La mécanique sinistre était déjà enclenchée.

Finalement, ces généraux pour l’honneur préférèrent une guerre qui assassina 20 millions d’humains. Une guerre des tranchées !

Bien sûr, ni les généraux, ni le kaiser, n’y participèrent. Les grands, parce qu’ils sont précieux, ne se salissent jamais. Ce sort est réservé aux autres. Dans les tranchées.

Lorsque la guerre eut fini, face au spectacle terrifiant des millions de cadavres, le kaiser Guillaume II eut cette tragique phrase. Je n’ai pas voulu cela.

Alors, kaiser, qu’est-ce que vous n’avez pas voulu ?

La guerre des tranchées où des hommes périrent tels des rats ?

Qu’est-ce que vous n’avez pas voulu, expliquez-le-moi, s’il vous plaît, Kaiser. Ces millions de tombes s’étendant à perte de vue ?

À moins que ce ne fût cette multitude de croix, si bien alignées, dans les cimetières.

Ou encore, ces hypocrites statues pour célébrer la mort de millions de soldats de 20 ans ?

Le cauchemar du passé est oublié. Les kaisers renaissent à travers leurs clones du présent. Ils sont prêts, à une nouvelle apocalypse. Ensuite, tels Néron, munis d’une harpe, chanteront les louanges d’un peuple qui se sacrifie pour eux.

@abdesselam.bougedrawi

JE NE L’AI PAS VOULU. LE SINISTRE RETOUR DES KAISERS À travers cet article, mon espoir est de raviver l’ultime étincelle humaine qui demeure en nous. Il est temps d’oublier les discours d’un Onfray, d’un Houellebecq, ou, encore, celui d’un Finkielkraut. Ne vous laissez pas tromper par les discours de ces intellectuels. Lisez mes essais, disponibles sur Amazon. En 1914, à quelques semaines du commencement de la Première Guerre mondiale, le kaiser Guillaume II tenait des discours guerriers au Reichstag. Il parlait de glaive que l’on devait brandir. Il parlait de vengeance, de sang que l’on devait verser pour l’honneur, et la grandeur de l’Allemagne. Premièreguerremondiale GuillaumeII guerre guerredestranchées gueulescassées veuves orphelins dictaturedelapensee cancelculture soumission journalismes medias Presse standardisationdelapensee SamuelHuntington ÉricZemmour FrancisFukuyama RenaudCamus grandremplacemenct AlainFinkielkraut MichelOnfray chocdescivilisations MichelHouellebecq

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