Aujourd’hui, mesurer l’ampleur du désastre
UNE FIN DE VINGTIÈME SIÈCLE MÉDIOCRE, AUJOURD’HUI, MESURER L’AMPLEUR DES DÉGÂTS.
Lorsque l’on compare la chanson des Beatles des années 60, avec la chanson saga Afrika, ou bien encore, avec la lambada, on ne peut que constater la chute vertigineuse de la chanson.
Le même constat de consternation, lorsque l’on compare, l’élégance des acteurs des années 60, avec celle d’aujourd’hui. Cependant, ceci concerne les apparences. Qu’en est-il, réellement, de la pensée intellectuelle ?
En quelques décennies, elle subit, pareillement, la même chute vertigineuse. Une chute vers le mauvais goût, les obscénités, la vulgarité, et les incompétences.
Pour mesurer l’ampleur des dégâts, il suffit de lire la revue Marianne, ou encore, de lire les livres de Michel Onfray.
Que s’est-il passé pour que nous tombions si bas ? La réponse, mes amis, j’essaye de la fournir à travers mes différentes publications.
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