PHILOSOPHIE

II-HOMME DE LETTRES, CASSE-TOI ! MON PAMPHLET ANTI LITTÉRATURE

Le sujet de ce jour porte sur le thème, Tu finiras par t’y habituer, mon fils.

Je poursuis mes propos en rapport avec un article de Marianne, en date du 12 septembre 2024, signé par l’académicien, Antoine Compagnon.

Notre brave immortel, portant l’uniforme resplendissant de l’académicien, déclarait, la littérature ne nous aide pas à trouver un emploi, mais elle nous aide à vivre.

Si, effectivement la littérature permet à certains de connaître quelques béatitudes, à l’inverse, nous devrions savoir combien de malheur, de dépression, de suicide, et j’en passe, elle aura créé. Nous devrions savoir, combien de sociétés elle aura désagrégé.

Nous devrions savoir, pareillement, combien de famille elle aura brisé.

Devrais-je rappeler, que la littérature, est sous l’emprise farouche, d’une minorité, d’intellectuels, de maisons d’édition, de maisons de presse.

Par les concours littéraires, par la presse spécialisée, par les revues, par les intellectuels, cette minorité impose des œuvres littéraires autant insipides, ennuyeux, que dévastateurs.

Qui peut mieux vivre, après avoir lu, Thérèse Desqueyroux ; ou bien encore, 1984, Big Brother is watching you.

En tout cas, la lecture de Thérèse Desqueyroux, constitue pour ce jeune qui n’a pas obtenu le job, la double peine. La peine de chômage, la dépression à la lecture de ce roman.

À propos de chômage, justement, une blague marocaine dit ceci. Un jeune, fraîchement diplômé, ne trouve pas de travail. On lui recommande une voyante. Cette dernière lui dit ceci. Jeune homme, ton problème sera réglé dans cinq ans.

Notre jeune chômeur est heureux, il lui demande. Vous voudriez dire que dans cinq ans je trouverai un travail ?

La voyante lui fit cette réponse. Jeune homme, dans cinq ans tu n’auras toujours pas de travail. Cependant, tu seras habitué à ta condition de chômeur. À ce moment-là, tout ira bien.

Si, la société fournit les chômeurs, la littérature les rend dociles pour accepter leur sort.

Je ne puis empêcher cette interrogation de m’envahir. Et si, la littérature, l’intelligence intellectuelle, ne sont pas directement responsables du chômage de ce jeune, et bien d’autres choses ?

Retrouvez l’intégrale de mes adaptations des aventures de Sherlock Holmes

@abdesselam.bougedrawi

II HOMME DE LETTRES, CASSE-TOI ! MON PAMPHLET ANTI LITTÉRATURE Le thème d’aujourd’hui, Tu finiras par t’y habituer, mon fils. +++++++++++++++++++++ Abdesselam Bougedrawi, La liberté de penser autrement Visitez mon blog, abdesselambougedrawi.com +++++++++++++++++++++ Je vous propose quelques publications sur un sujet majeur, le rôle de littérature pour mieux vivre. Je dis clairement, la littérature ne nous apprend pas à mieux vivre. Ce qui nous rend meilleur, mieux préparé à bien vivre, ce sera une belle enfance, des parents aimants, des citoyens solidaires. La littérature, au contraire, peut corrompre. Vivonne mieux vivre Spinoza AndréComteSponville vérité mensonge EmanuelKant philosophie littérature écrivain AntoineCompagnon abdesselambougedrawi culture Écrivain Maroc écrivainsmarocains

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