CONTRE-ANALYSE

UN ARTICLE DU MONDE SUR L’AMÉRIQUE DE DONALD TRUMP
Dans un article du quotidien le monde en date du 27 mars 2025, on remarque ce titre :
Le procès en inutilité de la culture gagne du terrain en France, le même qui est à l’œuvre dans l’Amérique de Donald Trump.
J’ai déjà abordé ce thème il y a plusieurs décennies avec un texte intitulé, une fin de siècle médiocre. La fin de siècle concernait le XXe. Au cours de ma publication, je dénonçais la médiocrité globale qui se répandait dans le milieu culturel de quelle nature qu’il fût. Finalement, avec énormément de retard, beaucoup rejoignent mes propos.
Ce n’est pas la culture qui pose un problème, mais ceux qui la détiennent
Le quotidien le Monde, habilement, élude le sujet. Ce n’est pas la culture qui est remise en question, mais plus exactement ceux qui la détiennent sous leur emprise. L’objectif du journal est de montrer que Trump, ainsi que d’autres tendances avant lui, œuvrent dans le but de l’aliénation des personnes en leur ôtant ce qui est supposé nourrir les esprits. Ce qui rejoint les régimes totalitaires dans lesquels on dépossède le citoyen de toute activité pouvant l’émanciper ou le rendre lucide. Au reste, les comparaisons de Trump avec diverses formes de dictature sont nombreuses. Par le biais de la subtilité de leur article, nombreux sont les journalistes à transfigurer la démocratie américaine en une dictature. Pour le dire clairement, selon eux, les États-Unis d’Amérique, parce qu’ils ont élu Donald Trump deviennent subitement, , une dictature de soumission. Cependant, le quotidien le monte, en dehors d’invectives et d’articles à charge, n’apporte aucune preuve de ses déclarations. À l’inverse, de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la seule dictature délétère, celle des intellectuels :
Après plusieurs décennies, que pourrait-on dire de la culture ?
De façon arbitraire, je considère comme point de départ la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Au début, c’était plutôt, pas mal
Lorsque l’on se penche sur la période des années 50, puis 60, on est surpris par la qualité des œuvres cinématographiques et musicales. Que ce soient les Beatles, les Rolling Stones, les Beach Boys, les Animal’s, Bob Dylan, leur musique était de qualité exceptionnelle. J’ai consacré de nombreux articles sur cette période. Les chansons défendaient une cause. Les paroles de la chanson des Beatles, Eleanor Rigby, celles de Blowing in the Wind, ou encore celles de, qui a tué Davy More, représentaient le merveilleux définitivement enterré par la culture contemporaine.
Quant au cinéma, que ce fut Cary Grant, Gregory Peck, Bette Davis, Ingrid Bergman, toutes ces personnes possédaient l’ultime grâce.
Ensuite, la dégradation
Progressivement, insidieusement, se répand l’anticulture. Les tenues vestimentaires des chanteurs, l’obscénité des acteurs et des actrices ; la vulgarité des propos s’impose en règle. Ensuite, la médiocrité des auteurs. Le coup de grâce vient avec la dictature de la pensée. Devant une œuvre laide, téméraire celui qui oserait dire qu’elle l’est réellement. La Cancel culture associée à sa contrepartie, la contre Cancel culture, empêche tout esprit critique. Qui, dans un élan de bravoure, oserait défier l’intelligentsia ? Non seulement on l’étriperait, mais on s’acharnerait sur sa famille, sur ses enfants à l’école. Ce style de comportement s’installe dans le quotidien de certains intellectuels. Il est connu du lecteur.
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Une culture de l’abject
Les débats entre personnes dites détentrice de la culture se transforment souvent en pugilat et en invectives. Les acteurs et les actrices dévoilent leur nudité, à défaut de leurs talents. Quant au film, en dehors des superhéros et des supers héroïnes, aucun salut.
La littérature, parlons-en ? Laquelle faut-il évoquer, celle de la Dark romance ? Celle des prix Goncourt que l’on oublie si rapidement ? Quant à la musique, est-ce encore cela, tant elle est bruyante, assourdissante et vulgaire.
La liste des griefs contre ceux qui détiennent la culture est longue.
Quel bilan pour ce qui détienne entre leurs mains la culture ?
J’ai la sensation intime que des personnes se rencontrent entre elles pour décider de ce que devrait être notre connaissance. Petite manigance entre amis !
L’amateurisme, les incapacités, les incompétences, voici la conclusion à laquelle, personnellement, j’aboutis.
Par la tyrannie, par la dictature sur la pensée, par celle dirigée, l’élite intellectuelle a su, en quelques décennies, procéder à la transfiguration de l’humain dans ce qu’il est. Ce que je dénonce dans mon ouvrage, transfiguration de l’humain en Occident. La naissance de la monade. En conséquence, nous assistons à l’émergence d’un humain cynique, mais dont le cynisme est perçu en tant que vertueux. Ensuite, l’étape qui suivra est celle d’un humain aux sentiments arides.
Enfin, dernière phase, après les adultes, les intellectuels s’attaquent à l’innocence des enfants. Je crois qu’une ligne rouge est franchie. La question est de savoir si les esprits formatés possèdent encore la capacité de s’en apercevoir. Ensuite, de réagir dignement.
Cependant, la parfaite illustration de mon propos est représentée par l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver en France. Tout est dit.
Note : contrairement à l’élite intellectuelle dominante, je ne cherche en aucun cas à interdire des œuvres littéraires. Mes propos visent à donner aux lecteurs les moyens de résistance aux leurres d’intellectuels tant obsolètes qu’insidieux. Un ensemble de mes publications vont en ce sens. Ils vous sont proposés à des prix défiant toute concurrence, en tant qu’auteur indépendant, sur Amazone. Ensuite, sur ma boutique personnelle.

LA TRANSFIGURATION DE L’HUMAIN EN EUROPE. NAISSANCE DE LA MONADE
En ce moment, essentiellement en Europe, la perte des valeurs est un phénomène social et humain achevé. Ce à quoi nous assistons n’en est que la conséquence. C’est-à-dire l’émergence d’un humain nouveau qui ne possède plus dans son essence même les notions des valeurs anciennes.
C’est l’avènement de l’humain monade qui n’a besoin de rien d’autre que de lui-même. S’il est cynique, ce mot ne possède aucune signification négative pour lui. Au contraire il est porteur de grandes vertus
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- QUELLE MORALE NOUVELLE POUR L’HUMAIN NOUVEAU ?
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