Lorsque l’on se penche sur les 50 dernières années, on ne peut qu’être attristé par la constante hargne envers les Maghrébins. Rien ne nous aurait été épargné. Les invectives, des insultes de bassesses, des insinuations avilissantes.
Tout le monde s’y est mis. Le clown Guy Bedos ; insipides Onfray ; l’hystérique Zemmour ; le sournois Finkielkraut ; l’indigent Houellebecq. Tous ces gens s’acharnent contre les faibles. Il s’acharne contre ceux-là mêmes qui sont dans l’incapacité de se défendre.
Il est vrai que, lorsqu’on a tout raté, on s’en prend à ceux qui ont gardé la noblesse.
Il est connu, également, que le drogué vantera les mérites de la drogue. Il n’aura de cesse que de faire de vous un dépravé. Comme lui.
Pareillement, nombreux sont les intellectuels, drogués par leur propre folie, obnubilés par leur propre déchéance, à vouloir nous entraîner dans leur décrépitude.
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Finalement, comme je le dis dans un de mes essais, transfiguration de l’humain en Occident, du moment que l’on ne peut pervertir les musulmans, on cherche à leur faire du mal.
L’affiche, donnons un avenir aux enfants blancs, est en ce sens, on ne peut plus parlante. Mais, la haine se retourne toujours contre ceux qui la provoquent.
La hargne aveuglante empêche les Michel Onfray, les Alain Finkielkraut de voir la réalité. Petit à petit, les pays arabes musulmans progressent. Ils s’engagent dans la voie du modernisme. Tout en gardant leur dignité et leurs traditions. À l’inverse, les intellectuels français mènent doucement, mais sûrement, leur pays vers l’impasse.
Aujourd’hui, par ce slogan, donnons un avenir aux enfants blancs, le point de rupture entre Maghrébins et français est atteint. La prochaine étape est celle du point de non-retour. Il est très proche.
AVEC CETTE AFFICHE, LE POINT DE NON-RETOUR EST ATTEINT
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