La France se dirige vers une crise économique indubitable. Elle partage, avec celle de 1929, la caractéristique suivante. S’il est facile de lui trouver une solution, celle-ci est impossible à mettre en œuvre.
Cette impossibilité de procéder à des solutions efficaces trouve son origine dans l’aliénation des volontés humaines par l’élite dominante. Cette aliénation représente l’unique origine de la faillite. Certainement jamais, la présence de Maghrébins. Au contraire, c’est bien cette population méritante qui a retardé, du mieux qu’elle pouvait, l’installation de la future débâcle économique.
La gravité de la crise de 1929 trouve son origine, essentiellement, dans les mensonges des intellectuels, des écrivains, des penseurs, des politiciens. Leur vanité, leur incompétence, leur croyance aveugle en leur puissance, leur fit croire que leur système économique était indestructible.
Pourtant, malgré la gravité de la crise, il eût été possible de lui trouver une solution. Une solution qui passait par une solidarité exemplaire ; une mise en commun des richesses. Ne serait-ce que pour quelques années.
Mais, malheureusement, l’élite dominante, toujours elle, s’acharne contre ceux qui oseraient proposer pareille solution. Immanquablement, on les traiterait de bolcheviques. La conséquence en fut des plus redoutables, avec survenue d’une crise économique, sociale et humaine, suivie d’une guerre mondiale meurtrière.
En ce moment, pareillement à la crise de 1929, les mêmes réflexes d’erreurs se répètent. La vanité et l’incompétence de l’intelligentsia dominante conduisent la France vers un aveuglement total. Personne dans le pays, n’est en mesure de comprendre, que le monde a changé, et que des dizaines de pays constituent une redoutable concurrence. L’élite s’agrippe, désespérément, à un passé dans lequel, la France dominait une partie du monde.
Pourtant, il est encore possible, comme en 1929, d’éviter cette crise à venir. Le salut passe par un partenariat d’égal à égal avec des pays de l’Afrique.
Malheureusement, le racisme, le mépris envers ce continent empêche toute velléité en ce sens. Considérer des pays d’Afrique en tant qu’égaux est une impossibilité, pour l’élite dominante française. Ceux qui dans un élan de clairvoyance, et de lucidité, expriment la moindre volonté de partenariat avec les pays africains, seront traitées, d’islamo-gauchistes, de traîtres à la nation. Le vocabulaire consacré, vous le connaissez parfaitement
Finalement, quand on possède des penseurs tels que Michel Onfray, Michel Houellebecq, Alain Finkielkraut, ou Éric Zemmour, on en paye les conséquences.
Michel Onfray peut s’épaissir, encore et encore, il se complaît et s’enrichit par le malheur d’autrui. Même si cet autrui, ce sont ses compatriotes.
ECRiTAU mag, votre capital liberté
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