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CONTRE ANALYSE, C’EST TRUMP LE CONTRE-POUVOIR

À travers cette nouvelle rubrique, contre analyse, je vous propose une rectification de quelques articles que je juge dangereux. Ou bien, au minimum, erronés. Il est temps de tourner le dos aux discours stéréotypés des intellectuels et des philosophes. Penser par nous-mêmes est notre garantie liberté.

Aujourd’hui, je me propose de faire une mise au point sur un article de Le Monde intitulé, une seconde présidence Trump sans véritables contre-pouvoirs.

Journalistes de Le Monde, toujours vaniteux

Je ne possède aucune estime pour ce quotidien, je l’exprime de façon claire depuis plusieurs décennies. Que ce soient les journalistes ou les collaborateurs de Le Monde, ils s’éloignent de l’objectivité pour écrire des diatribes plus que des articles. Ces réquisitoires sont variables en fonction des convictions de l’auteur. C’est du journalisme idéologique. Qu’ils n’aiment pas Trump, cela se conçoit, ce qui n’est pas acceptable est que leur hargne se transforme en articles à charge.

Le pouvoir des médias

À travers mes publications je dénonce l’emprise de la presse sur les mentalités. Dans mon ouvrage intitulé, la fabrique du choc des civilisations et des opinions, je démontre de façon claire comment non seulement on a fabriqué ce fameux choc civilisationnel, mais en plus comment on manipule les opinions. Dans une seconde publication, discours sur les influences et les manipulations des esprits en Occident, j’expose les techniques utilisées pour modeler et diriger les esprits.

Les medias représentent un des moyens les plus puissants, essentiellement en Europe, pour orienter les esprits, ou encore les mener à la totale soumission.

Une partie majeure de la crise identitaire, de la crise socioculturelle, des destructions des traditions et de la famille sont directement liées à des intellectuels, à des philosophes, à des quotidiens tels que Le Monde.

L’élection sans appel de Trump, plutôt contre-pouvoir

Si, face au despotisme des intellectuels et des médias, les européens sont résignés, aux États-Unis d’Amérique tout un ensemble d’institutions permet aux Américains de s’exprimer.

Il y a chez les citoyens américains un sens du consensus et du compromis. J’ai déjà évoqué ceci dans ma publication sur l’Église anglicane. L’autre élément est que les Américains croient fermement en leurs institutions. Justement, cette croyance constitue en elle-même un pouvoir. Rares sont les présidents à prendre le risque de heurter cette conviction profonde.

Les Américains sont pour le port d’armes. Si tout semble indiquer que cela est dans un but de se défendre, ceci peut pareillement signifier une révolte en cas d’usurpation du pouvoir par un président.

Victoire de Trump, victoire du peuple

L’élection de Donna Trump représente en fait la réponse pacifique du peuple américain aux tentatives de le transfigurer. S’ils ne rejettent pas l’homosexualité, ils ne veulent pas qu’elle soit imposée à des enfants ou à des adolescents. Ils ne veulent pas que l’on procède à des opérations chirurgicales sur des enfants pour leur changer de sexe. D’autres aspects de cette victoire sont en rapport avec les traditions et la religion que les Américains voudraient conserver.

Les américains ont exprimé sans équivoque le refus de leur défiguration, ils s’opposent à ce grand remplacement, non pas par des émigrés, mais par des Américains de pure souche totalement pervertis. La perversion dans son acception demeure de l’ordre de l’appréciation des Américains et d’eux seuls. Certainement pas des journalistes de Le Monde.

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