Aller à ma boutique

RADICALISATION FÉMINISTE, EN FINIR AVEC LA PARITÉ

Le mâle, l’obsession originelle

Après plusieurs années d’une hystérie féministe européenne, il est légitime de se poser la question sur les motivations réelles de ce mouvement. En examinant les événements de près, on ne peut que constater que le féminisme se fonde sur les axes suivants :

– Une obsession permanente du masculin

– Un désir impérieux de ressembler à l’homme pris en tant que référence

– Un instinct de destruction de l’homme et en ce qu’il représente

En effet, si l’on considère le féminisme à ses débuts, sa symbolique était éloquente. Que ce soit le recours aux mythes des femmes amazones ou encore que ce soit la mante religieuse, la structure obsessionnelle se mettait déjà en place.

Lorsqu’elles s’amputaient d’un de leurs seins, les amazones cherchaient à ressembler au Masculin, pour mieux tirer à l’arc. Devinez sur qui ? Ensuite, après avoir copulé avec le Masculin pour avoir une descendance, il est tout simplement occis. Je dis occis, pour la frime. Le symbole de la mante religieuse se situe dans la même cohérence. Cet insecte dévore le mâle après l’accouplement. C’est tout, sauf cochon.

Finalement, #balanceTonPorc ne constitue que l’aspect de la radicalité de ce mouvement.

Six années malsaines de dénigrement

La dernière attaque féministe évoluant depuis au moins six ans se situe dans une psychose collective. Rien ne fut épargné à l’homme en tant qu’être masculin. L’on dénigra sa virilité, sa masculinité, sa condition d’homme. Il suffit de revoir les déclarations de nombreuses femmes en cette direction.

La haine masculine s’inscrit dans le mental de certaines femmes intellectuelles. Si, auparavant, dans un esprit de boy-scout, on se devait d’accomplir une bonne action quotidienne, pour les féministes, il s’agit d’une invective anti masculine quotidienne.

Retrouvez mes dernières publications au prix défiant toute concurrence de 0,99 €, avant leur publication sur Amazon.

Payement sécurisé

Un langage sournoisement guerrier

Les attaques contre les hommes et ce qu’ils représentent s’intensifient par l’usage d’une rhétorique de victimisation.

Le terme féminicide n’a d’autre signification que de dire que les hommes ne possèdent d’occupation que celle qui consiste à assassiner les femmes. La phrase, chaque jour une femme tombe sous les coups des hommes, va en ce sens. Bien sûr, il est strictement interdit d’évoquer les violences féminines envers les hommes.

Après #balanceTonPorc, avec lequel les féministes traitent les hommes de porcs, on passe à l’étape suivante, celle de #Me

Too. Avec ce dernier slogan, les femmes s’autoproclament en tant que victimes naturelles de la terreur masculine.

Le terme passe-partout, sexisme, quant à lui, est évocateur de je ne sais quel fantasme. Finalement, pour les féministes, dire bonjour à une femme c’est du sexisme ; ne pas lui dire bonjour, c’est encore du sexisme.

Une destruction par la haine de ce qui réunissait les hommes et les femmes

Nombreuses sont les savantes féministes à vouloir faire une analyse freudienne de leur triste sort. On incrimine la romance au cours de laquelle une femme attend son prince charmant. Pourquoi pas ! Malheureusement, en contrepartie, on invente la Dark romance. Dans cette littérature, des femmes se font maltraiter par des hommes violents, et dans des conditions d’extrême déchéance. Faut-il le préciser, la Dark romance est écrite essentiellement par des femmes pour un public pratiquement féminin.

Le patriarcat, une hallucination collective

Parmi les attaques des féministes, le patriarcat occupe une place prépondérante. Toutes les femmes, ici et ailleurs, ont pour mission de le détruire. Sauf que, le patriarcat n’existe plus depuis bien longtemps. Les hommes n’en veulent plus, de ce terrible fardeau. En contradiction avec elles-mêmes, lors d’un match de football où des Maghrébins participaient, elles reprochent aux hommes footballeurs d’embrasser la paix de leur mère. Toute une rhétorique faite de conseils, de maternalisme fut entreprise en ce sens. Merci, maman, féministe ! Lorsque l’on dénigre pour le plaisir de dénigrer, l’on finit par se démentir. L’on est, certainement pas, à une contradiction près. Cependant, derrière ce comportement contre le patriarcat se cache un désir inavoué de contrôler les hommes et les femmes dans leurs rapports intimes. Pareillement à des idéologies éculées, religieuses ou non, les féministes voudraient surveiller les hommes, les femmes, les enfants, la famille. Cela donne des frissons et rappelle quelque chose de terrifiant. Big Sisters are watching you !

En finir avec la parité

On aurait pu penser qu’avec toutes ces proclamations, il y aurait un sursaut féministe qui consisterait, justement, a rejeté la parité. Si on la considère en ce qu’elle représente, la parité ne saurait constituer que ce besoin insatiable chez les féministes, d’une part de ressembler aux hommes, d’autre part d’accéder à une fonction simplement parce qu’elles sont des femmes. Le mérite, il n’en est jamais question. Du reste, les féministes dénigrent le dynamisme personnel par l’intermédiaire du terme méritocratie. L’on aurait tout subi !

Une réaction timorée d’émasculation chez les hommes

Lorsque la dernière vague féministe commença il y a six ans, les hommes furent pulvérisés. Le mot est faible. Beaucoup, entrèrent dans la servilité de la culpabilité pour des actions qu’ils n’ont jamais commises. Ceci rappelle dans son esprit les procès de Moscou. En effet, lors de ces jugements, des communistes bien qu’innocents se proclamèrent coupables pour le bienfait de la cause communiste. Je le dis bien, qu’on ne prête à mes paroles aucune déformation, l’esprit. Dernièrement, une célébrité médiatisée, masculine, parle d’émasculation des hommes. Et ce fut le cas, symboliquement.

Parmi les réactions imbéciles de quelques Mâles, on pourrait citer celle-ci. Un homme politique, quelque part en Occident, propose que l’on interdise les pissotières. L’on les remplacera par des WC traditionnels pour que les hommes s’accroupissent, de la même manière que les femmes, pour ce besoin. Bien qu’il soit un homme, il mérite, à lui seul, le prix de bonne tenue féministe. Cet homme fanatisé de niaiserie, ne comprendra jamais qu’il dénigre les femmes dans leur manière de faire.

Je me rappelle d’une scène absurde lors des Oscars où toutes les femmes étaient habillées en noir, signe d’un deuil. Des hommes se crurent obligés de s’habiller également en noir pour se plier à cette mascarade. Le deuil, on le comprend, signifie le féminicide permanent envers les femmes. Par des hommes !

Après la rupture, en route vers le non-retour

Dans des essais je décris le point de rupture en tant que situation au cours de laquelle il existe une cassure entre des catégories humaines. S’il est possible, à ce stade, de faire marche arrière, la situation ne reviendra jamais à la normalité. Ensuite, survient, le point de non-retour. Arrivé à cette condition, quoi que l’on fasse, on ne pourrait jamais retourner à une situation d’entente.

En ce moment, en occident, avec la poursuite du féminisme, le point de rupture est acquis pleinement. Dans l’éventualité où les choses persistent, ce sera le point de non-retour. Les hommes se défieraient et se méfieraient des femmes. La situation sera telle que la normalité pour des hommes consisterait en se situer en dehors des femmes, spécialement celle féministes.

Quelles conséquences du féminisme ?

Tandis que les femmes n’avaient de cesse que de harceler les hommes ; tandis qu’elles se cloîtraient dans le sexisme ; tandis que les actions belliqueuses se poursuivaient, les hommes progressaient. Ils créent de petites entreprises, ils créent des start-ups, ils effectuent les travaux de pénibilité, ils s’engagent dans le commerce. Bref, ils sont présents, un peu partout. Des secteurs de l’entreprise dans lesquelles il n’est question que de mérite, certainement jamais de parité. Je lance un avertissement solennel envers les femmes. Les hommes ne sont pas ce que l’on vous fait croire. Ce ne sont ni des criminels ni des hommes ayant pour but ultime dans la vie de procéder à des féminicides. Si la situation telle qu’elle est, et voulue par les féministes se prolonge, il n’y aura d’autres solutions que de créer un impôt spécial femmes que les hommes qui travaillent payeront, pour atténuer la future misère qui pourrait affecter les femmes. Si l’on arrive à cette situation de désespoir, les féministes réagiront par la création d’un autre terme. Peut-être, diront-elles que les hommes sont des prédateurs ? Dans un commentaire en réaction à des déclarations de féministes, un internaute évoque l’obscurantisme des féministes. Comment le dit, à bon entendeur, salut.

Retrouvez mes dernières publications au prix défiant toute concurrence de 0,99 €, avant leur publication sur Amazon.

Payement sécurisé

Féministes #féminicide #BalanceTonPorc#MeToo #émasculation #parité #diversité #discrimination positive #virilité #masculinité #MarkZuckerberg