CYNISME ET MÉCHANCETÉ VOLONTAIRES D’UNE ÉLITE INTELLECTUELLE OCCIDENTALE

Intellectuels et immunité
Cet article se situe en continuité du précédent. J’y apporte quelques développements. Globalement, chez l’élite intellectuelle occidentale, il y a une propension à une délétère sournoiserie. Autant on peut se prémunir contre les coups de voyous, autant on est démuni face à certaines bassesses émanant de philosophes ou de penseurs. Ceci s’explique essentiellement par le fait que l’on accorde à l’élite pensante l’immunité. Dans l’univers mental du grand public, un intellectuel ne peut être que la représentation de la probité, de la sagesse, ou encore de la vérité. Malheureusement, avec le temps, nous le savons, ceci est strictement faux.

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Un état mental et psychologique à évaluer
Si, parfois, l’on analyse les œuvres d’un intellectuel, on se garde bien de porter le moindre jugement sur sa personne, encore moins sur son état psychique. Je ne sais s’il existe une personne suffisamment téméraire pour le faire. La Cancel culture l’emporterait.
Pourtant, à y regarder de près, on ne saurait que constater une certaine déviation mentale pratiquement pathologique chez certains. Lorsque les intellectuelles sont sous l’emprise d’une obsession, elle est permanente. Cette obsession est présente dès le réveil de l’intellectuel, elle l’envahit durant la journée, et persiste jusqu’à la nuit. Je ne saurais dire si elle perturbe son sommeil. L’exemple le plus frappant est celui de Michel Onfray et du choc des civilisations. À chaque événement, aussi minime soit-il, il le ressort. Parallèlement, courageusement, il se terre quand il est question de génocide. Il y aurait beaucoup de choses à dire sur cet individu et sur ses clones. Éventuellement, si vous voulez en savoir plus, mon livre, 2024, big Onfray is Watching you, est disponible sur Amazon.
Une méchanceté s’intégrant dans la personnalité de l’intellectuel
Parmi les aspects qui m’ont le plus surpris chez les intellectuels, je peux citer une méchanceté persistante. Alors que, comme je l’ai annoncé auparavant, la méchanceté des voyous est prévisible, on pourrait l’éviter, celle des intellectuels et sournoise, pernicieuse, dangereuse. Cet aspect se trouve concrétisé chez des penseurs tels que Onfray, Houellebecq, Zemmour, Finkielkraut. Et d’autres, évidemment.
Concernant Onfray, chacune de ses publications n’a pour but que de déprimer les lecteurs. Entre des annonces de chaos, des prédictions funestes, cette hauteur se complaît dans le sordide.
Historiquement, cette méchanceté, on la trouve chez des intellectuels, tels que Robespierre et d’autres révolutionnaires. Elle eut pour conséquence des milliers de guillotinés, les massacres de la guerre de Vendée, ou encore les noyades de Nantes. Triste bilan.
Le père fondateur de cette méchanceté demeure Voltaire et sa mauvaise foi.
Un transfert d’obsession
L’une des particularités des intellectuels demeure leur anxiété et leur obsession. Tout se passe comme si, plus ils deviennent intelligents, plus ils sont anxieux. Mais, ce qui est lamentable est que, coûte que coûte, et advienne que pourra, ils feront tout pour propager cette pathologie à leurs lecteurs, et au-delà aux citoyens par l’intermédiaire de leurs interventions dans les médias. Si, présentement, on pourrait toujours citer Onfray, Houellebecq, Zemmour, Finkielkraut. Auparavant, ce rôle fut dévolu à un Sartre et à un Camus. Albert Camus, par son absurde, a causé une dépression incommensurable.
Une incompétence notoire
Il serait faux de croire que les intellectuels, parce qu’ils le sont, connaissent bien leur sujet. C’est bien loin d’être le cas. Des livres comme le choc des civilisations de Samuel Huntington, ou encore la thèse de la fin de l’histoire de Francis Fukuyama sont la parfaite illustration de la médiocrité de ces deux auteurs. Pourtant, leurs ouvrages ont non seulement constitué de best-sellers, mais plus encore, influencer des millions de personnes dans le monde occidental.
Des théories bâties sur de faux modèles
Nombreux sont les philosophes, les penseurs, en général les intellectuels, à construire une théorie ou une pensée en se basant, soit sur leur entourage proche, soit sur leurs collègues de l’université où ils enseignent, ou bien en se basant sur d’autres intellectuels. Ensuite, en s’appuyant sur ces échantillons ne représentant rien en soi, ils bâtissent et propagent des idées absurdes.
Il peut arriver que le modèle choisi soit leur propre univers mental. Lorsque celui-ci consiste en une accumulation d’anxiétés et d’angoisses, les intellectuels voudraient que ces obsessions se généralisent pour atteindre autrui. À travers leurs publications, leurs interventions, leurs conférences, ils répandent leurs morbidités vers ceux qui les écoutent.
Ne plus croire les intellectuels sur parole
Dans cet article, je vous propose les éléments importants qui expliquent globalement les erreurs des intellectuelles. Quelle que soit la renommée ou de la célébrité d’un penseur, il faut toujours garder à l’esprit qu’il ne saurait être au-dessus de tout jugement et de tout reproche. Le fait de publier des livres, ou encore le fait d’être philosophe n’empêchent ni la méchanceté ni la mauvaise foi de la sournoiserie.

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